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Photo du rédacteurAnne-ghislaine Anquetil

L'écologie, ça commence à l'intérieur

Développer la congruence et l'écologie intérieure.


Depuis quelques années maintenant, je chemine avec des choix de vie plus clairs. Ils me mènent, à petit pas, vers ce que j’ai envie d’offrir au monde : l'Amour. Seva TegPrem Kaur est le nom spirituel qui m'a été donné par la fédération 3HO. J'en éprouve une profonde gratitude. Il signifie la femme, princesse, lionne, dans la puissance et la protection divine, au service de l'Amour. Servir l'Amour. Cette intention, plus grande que la petite être humaine que je suis, me porte avec joie et dévotion.



Par où commencer pour être écologique ?

De nombreuses transformations peuvent être réalisées : intérieure d'abord. Pour ma part, j'ai pris conscience de mes traits de caractère, de mes conditionnements, de ce que je pouvais changer et de ce que j'avais besoin d'accepter, de nombreuses loyautés inconscientes qui m'attachaient à de la souffrance, de ce que je voulais changer et pour quoi j'avais besoin d'aide, d'affirmer mes limites. Je m'en suis libérée par un travail intérieur. Et pour en guérir complètement, transformer le destin, j'ai besoin de le manifester à l'extérieur, de mettre ces changements intérieurs dans la Vie, la relation, la matière.


L'intention a besoin de s'incarner dans la matière.

Le travail intérieur est un pré requis indispensable. Car C'est un travail intérieur qui se manifeste à l'extérieur : changer de sphère professionnelle, tendre vers une redistribution du pouvoir, apprendre à écouter mon corps pour lui laisser une place, lâcher prise de l'avoir et des croyances limitantes associées dans l'argent, la sécurité, redimensionner ma sphère familiale et affective pour y être plus présente, en temps et en conscience.


Qu'est ce qui change ?

Changer de métier pour être mieux alignée en termes de valeur et d'expression de mes qualités personnelles, pouvoir être au service de l'éclairage de la conscience, d'offrir es couleurs et celles de mes clients à la Vie. Tout cela est à la mode. Tant mieux, cela pose l'émergence d'un besoin de conscience. J'entends et je lis ceci dans tous les réseaux sociaux, chez un certain nombre de mes clientes. Mais concrètement ça signifie quoi ? Comment faire ? C'est un chemin que j'ai choisi il y a quelques années maintenant, et que j'ai à coeur de partager aujourd'hui, tant il n'est plus question de réussir mais d'accueillir.


Ralentir pour ne pas refouler

C'est difficile d'être sincère. La mécanique bien huilée de nos conditionnements nous pousse à l'automatisme. On appelle ça inconscience, considération intérieure, mécanique mentale... Peut importe le nom, c'est ce dont il est aussi question l'important : tout ce qui m'empêche d'être simplement là, pour accueillir la Vie, l'incertitude, la joie, les tempêtes, les peurs ou les chagrins extérieures avec une vérité dedans, qui accueillent et incluent, avec amour. Ces changements se manifestent grâce à l'écoute et l'observation. L'intermittence dans la conscience force en premier lieu à un rythme plus lent pour rester attentive, dans le discernement. Cette deuxième éducation, avec un apprentissage simple et une volonté claire, conduit à la présence.


Accorder du temps à l'important

Au quotidien et dans chaque instant, un travail d'observateur pour transformer ce qui empêche la beauté et la bonté intérieures de s’exprimer avec leur plein potentiel. Car la vie est divine, richissime de messages subtils présents partout pour nous guider. Le champ spirituel qui nous accompagne nous offre beaucoup. L''espace est matériel et contient l'immatériel. Pour mieux le révéler, être ancré en lien avec les forces de la Nature est un atout sans failles pour que l'influence extérieure soit nourrisante. Le contact amplifié avec le monde minéral, végétal et animal, pour ressentir, observer les résonances entre l'homme et la Nature.


Dehors influence dedans, et vice versa puisque l'espace n'existe pas.

Je passe du temps à écouter la beauté du chant des oiseaux, des parfums des fleurs. Cette reconnexion au vivant m'a donné la foi de m'accrocher à mes rêves, le courage de les assumer, sans chercher à les réussir à tout prix. La décroissance passe pour moi par des stop (@mbsr stop, take a breath, observe and proceed). Et c'est faire beaucoup que de s'inspirer de la Nature. Elle sait comment suivre le flux de la Vie, ne se décourage jamais. Tondre un jardin, tailler des buissons me montre combien la nature œuvre encore et toujours à produire. Alors cesser de forcer, de faire pour réussir, c'est un chemin d'harmonie extérieure qui agit à l'intérieur, qui transforme pas à pas vers la liberté. Dans quelques semaines, je déménage plus près de cette force protectrice, pour mieux être, et mieux accompagner celles et ceux qui ont choisir ce programme de réalisation.

Incarner dans la matière ce qui résonne en dedans :-) .


Ambitieux programme me direz vous ? Oui. Et j'ajoute simple, car ce n'est pas un objectif spécifique, mais une intention, qui ensuite se traduit esnuite par des objectifs réalistes, mesurés, spécifiques et ATTEIGNABLES :-).

pour plus d'informations sur le programme proposé, contact par mail aganquetil@gmail.com

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